Depuis mon arrivée ici mes oreilles résonnent, presque sans discontinuer, du vacarme , des cris,et des battements de tambour. Car les mandan aimet la musique et la danse. Je m’en étais bien vite aperçu, et pourtant tout ce que j’avais entendu n’était rien. Il ya quelques jours commençait la danse du bison, et là, je faillis pour de bon perdre l’ouïe. Ce ne fut que grognements, meuglements, accompagné du martélements de centaines de pieds. Dieu merci, tout est fini depui l’aube.
Georges catlin. Les Indiens de la prairie.
Club des libraities de France.
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